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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 11:05

http://etienne.chouard.free.fr/Europe/

 

et notamment

 

http://youtu.be/vkW7GSWxWK0

et

http://www.youtube.com/watch?v=6LB462z-j70&feature=related

 

C'est assez proche du grand Chomsky ! Voir aussi ici

 

Un lien bien étrange entre tous ces économistes critiques : leur absence de propositions pertinentes et leur méconnaisance du mouvement post pétrolier...

 

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26 avril 2012 4 26 /04 /avril /2012 06:08

30 avril :

http://poetesindignes.wordpress.com/2012/04/28/des-municipalites-livrent-bataille-contre-les-banques-et-les-marches-financiers/

 

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Nicolas Sersiron :

 

La suppression du système dette, la relocalisation, l’agroécologie, la diminution de nos besoins alimentaires et matériels inutiles, la recherche d’autonomie coopérative, le partage et le retour à la gratuité des grands services publics sont des moyens de saper durablement l’assise des piliers en haut desquels dansent nos maîtres.

 

http://yonne.lautre.net/spip.php?article5371 

 

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 20:47

http://www.youtube.com/watch?v=U3Ezfjz0xvA

 

La bio et la permaculture :
une originalité de quelques écolos
ou une nécessité urgente ?


Accrochez-vous !

 


 

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22 avril 2012 7 22 /04 /avril /2012 20:09

http://vimeo.com/40577072

 

De mon point de vue,

les initiatives de transition associées à des monnaies locales

constituent des alternatives efficaces à la "pression des marchés".

 

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 05:19

31 mars :

 

http://sos-crise.over-blog.com/article-eric-toussaint-ue-soumise-a-une-therapie-de-choc-comme-l-a-latine-entre-1980-et-1990-102571099.html

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29 mars, trois nouveaux liens :

 

http://nantes.indymedia.org/article/25382 ,

 

venue de Benoît Thévard, animateur du blog avenir-sans-petrole, à Mont-St-Aignan le 11 avril :

http://rouen.demosphere.eu/node/26 ,

&

http://www.permacultureinternationale.com/

 

 

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Redeviendrons-nous un peuple premier ?

 

 

Partout j’entends dire :« On ne peut pas revenir en arrière. »

 

L’après pétrole aura  ceci de différent par rapport à l’avant pétrole : nous saurons d’où nous venons.

 

Cette évidence à elle seule nous rapprochera radicalement des peuples premiers qui excluaient tout progrès de leur cosmologie.

 

 

 Source icônographique :

http://a10.idata.over-blog.com/500x375/3/10/10/89/LARZAC/BERGERIE-LA-BLAQUIERE--7-.JPG

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20 mars : j'ai vu Tous au Larzac avant-hier, une bonne occasion de faire le lien avec le projet d'Ayraultport de Nantes et la ZAD !



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17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 07:02

 

EVT- Évreux ville en transition

Compte-rendu de la troisième réunion

mardi 17 avril 2012 à la Cantonade

 

 

Prochain RDV mardi 22 mai 18h à nouveau à la Cantonade.

 

Nous étions 6 : Micheline, Roland, Serge, Paulette qui vient de rejoindre le groupe, Franck et Robin.

Excusés : les 6 autres (Monique, Cathy, Nicolas, Dominique, Stéphanie, Marcel)

 

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En introduction Robin fait état d'un stage de 12 jours dont il revient sur la permaculture, encadré par Bernard Alonzo, à la ferme biologique du Bec Hellouin, en précisant que Rob Hopkins, à l'initiative des villes en transition et auteur du Manuel de transition, est enseignant en permaculture de son métier, et que les villes en transition ne sont que l'application de la permaculture au milieu urbain.

 

Franck présente le projet et la raison d'être de notre groupe à Paulette. Son intervention étant très complète mais un peu longue, nous instaurons le signe du T avec les deux paumes de la main, signifiant « temps mort » en volley-ball entre autres.

 

Robin enchaîne sur la nécessité de visualiser l'après pétrole, démarche au cœur du Manuel de transition : tant que nous n'aurons pas une vision claire de l'avenir et de là où nous voulons aller, nous nous accrocherons à la réalité présente et nous ne verrons les choses qu'en termes de problèmes. Et nous ne devons pas nous limiter au seul secteur alimentaire. Quel visage aura Évreux en 2050, sans pétrole, sans gaz, sans uranium ? Par quelles étapes de descente énergétique nous faudra-t-il passer pour y parvenir ? Cette imagination doit être collective : si je vous impose ma vision nous ne formerons pas un groupe. Nous devons donc nous donner les moyens de visualiser ensemble cet avenir, de même que nous devrons mettre les participants en situation de visualiser l'avenir lorsque nous organiserons notre première réunion publique.

 

Là-dessus s'engagent des nombreux échanges au cours desquels la transformation des problèmes en solutions s'avère permanente et difficile, n'est-ce pas Roland ? Nombreux éclats de rire, par exemple lorsque Roland s'exclame : « bon alors la difficulté ...! » Nous assistons donc à une seconde étape de cette éducation populaire évoquée dans le compte-rendu de la seconde réunion d'EVT. Non seulement « il n'y a pas de problème, il n'y a que des solutions », mais « le problème  est la solution ! »

 

Robin aborde ensuite cet énorme paradoxe selon lequel « je ne peux que  me changer moi-même », mais en insistant sur ce point auprès de mon entourage, je le mets en situation de relever le défi de se changer et par là même, s'il en est d'accord, d'être plus réceptif à ce que je vais lui dire pour changer !

 

Quel est mon programme ? Est-il de rester attaché coûte que coûte à mes certitudes, ou est-il de les remettre en cause pour peut-être entrevoir une autre vérité qui m'avait échappé jusque là ?

 

Avant, il y a bien longtemps, nous étions un peuple de nomades généreux, vivant dans une abondance de nourriture, puis nous sommes devenus des sédentaires égoïstes car il nous a fallu conserver ce que nous prélevions dans notre environnement proche qui s'appauvrissait, et bientôt nous deviendront des sédentaires généreux en recréant des environnements productifs, des écosystèmes nourriciers.

 

Chérir la terre, chérir les gens, créer l’abondance et partager les surplus.

 

Les Fraternités ouvrières, en Belgique, comptent 2050 espèces d’arbres fruitiers sur 1800 m², moins d’un cinquième d’hectare (plusieurs greffes sur un seul porte-greffe), ils ne ramassent que 10% des récoltes : les 90% retournent à la terre et la nourrissent, l’entretien à part la taille des arbres basse tiges est inexistant. Ils associent arbres fruitiers, vignes grimpantes, haricots grimpants, arbustes et buissons à baies, plantes basses perpétuelles telles que les bettes, fraisiers, toutes plantes comestibles et vivaces. Pour les tomates, celles qui tombent à terre se ressèment toutes seules. La profusion est telle qu’il n’ya pas de place pour les adventices.

 

Nos échanges ont également abordé l'habitat de demain, à la campagne ou en ville ? Individuel ou collectif ? Nous avons évoqué l'auto-construction collective sous forme de Castors ou de clubs CIGALES, en lien avec les projets du collectif urgence logement créé récemment à Évreux. (prochaine réunion vendredi 20 avril, maison de quartier de Nétreville, 18h30).


Exemple : la ville nous met un terrain constructible à disposition, en location différée. Une première maison est construite sous forme de chantier participatif (par exemple 5 familles se portent acquéreurs, tirage au sort de l'ordre dans lequel les maisons vont être construites). Maison simple ou plus sophistiquée, à voir : circulaire, de 8m de diamètre, semi-enterrée (50 cm), la terre excavée est mise en bordure pour augmenter la hauteur des murs : 1 mètre. Une épaisseur de pierre ou silex pour dissuader les rongeurs, bambou planté verticalement dans le mortier, bottes de paille enfoncées dans les bambous, 3 places (sud est ouest) pour les fenêtres : 2 fenêtres en doubles vitrage à chaque endroit, une à l'extérieur du mur, l'autre à l'intérieur (=> quadruple vitrage !), toit type yourte avec puits de lumière, moitié sud végétalisée (meilleure isolation + potager), moitié nord en tuiles de bois (récupération d'eaux de pluie).
Plus sophistiquée ? Poulailler au nord, serre au sud. 5 habitations individuelles pour une habitation collective : lingerie, cantine, fêtes etc.

 

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Lorsque la première famille s'installe, elle verse un  loyer à la municipalité. On peut aussi envisager une scop qui loue le terrain à la municipalité. Ou encore la scop, via ses actionnaires, achète le terrain : propriété collective.

 

Nous avons parlé du lien entre monnaie locale et production locale : sans production locale, un crash économique national type Grèce ou Espagne nous emporte avec lui. Si nous avons une monnaie locale plus une production locale, nous sommes en capacité de résilience : notre territoire peut continuer à produire, échanger, vivre.

 

Nous avons vu le film Cultures en transition, excellent mais non sous-titré, Franck va contacter le vendeur pour tenter de résoudre ça.

 

Notre petit groupe continue de se souder, nous avançons ensemble à grands pas, nous osons nous interrompre quand c'est nécessaire sans nous fâcher, nous ne nous prenons pas au sérieux et nous avons bien mangé et bien bu !

 

 

Un lien trouvé le 18 au matin :

http://videos.arte.tv/fr/videos/detroit_passe_au_vert-3427874.html

 

Pour le groupe, 19 avril 2012,

Robin

 

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 16:32

 

Compte-rendu de la seconde réunion de lancement d'une Initiative de Transition à Evreux

mardi 13 mars 2012 au bar Le Bohème.

Evreux Ville en Transition – EVT

 

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Présents, 9 personnes : Micheline PASSE, Roland RAPIN, Catherine FOULON, Serge GESTIN, Franck RIVE, Monique MARIE, Stéphanie BOUSSELAIRE,  Dominique GIBERT, Robin BRANCHU.

 

 

2 excusés : Nicolas CROZE, Marcel FROSSAERT.

 

 

Notre réunion a été annoncée dans Paris Normandie la veille et dans Eure Infos en pleine page le matin même.

 

Après une rapide présentation du projet d'initiative de transition pour les nouveaux arrivants, une tentative de repérage de thèmes de travail est effectuée. Il en est ressorti, sans y mettre de noms :

- « domaine public, espace d'expression », mais l'appellation est provisoire et ne fait pas consensus ;

- jardins et cuisine en partage ;

- une rue piétonne à Evreux ?

- groupe communication - tout le monde ;

- monnaie locale.

 

Il semble qu'il soit encore trop tôt pour que des groupes prennent leur autonomie, pour le moment le groupe se constitue et prend confiance.

 

Dominique propose d'interpeler la mairie sur les sens interdits ou double sens cyclables, arguant que la mise en place d'une telle mesure relève d'un arrêté municipal : les vélos peuvent dès lors emprunter les sens interdits en toute légalité, et l'expérience montre que dans ce cas les accidents n'augmentent pas. Je suis tombé depuis par hasard sur AREHNinfos de novembre 2011, la revue de l'Agence Régionale de l'Environnement de Haute-Normandie, en page 4, qui renvoie au décret n° 2008-754 du 30 juillet 2008, grâce auquel le double sens cyclable est généralisé aussi bien dans les "zones 30" que dans les "zones de rencontre". Depuis juillet 2010, les collectivités doivent être en conformité avec ce principe. Les villes peuvent aussi étendre les double sens cyclable à la majorité ou à la totalité des rues en sens unique comme cela a été fait à Illkrich, en Alsace, ou à Grenoble.

 

Lors des échanges Robin a insisté sur la forme de nos débats, au-delà du fond des actions à entreprendre : pour avancer dans notre projet d'Evreux ville en Transition nous devrons éviter, ou raccourcir, ou oser interrompre 5421101166_98dc0ce602.jpgdes discussions trop éloignées de notre objectif, comme des discussions qui refont le monde sans être dans l'optique d'agir, ou encore des paroles qui s'attardent sur nos adversaires alors que le propre des initiatives de transition est d'intégrer tout le  monde et d'ignorer nos éventuels adversaires. L'écueil inverse serait d'abuser d'autorité sous prétexte d'efficacité, il faut donc savoir oser être exigent sans être trop pressé quant aux résultats.

 

 

 

De nombreuses occasions de mettre en pratique cette nécessaire efficacité dans nos débats se sont présentées ce 8 février, faisant de ce projet une véritable occasion d'éducation populaire.

 

Pour illustrer ce thème, quelqu'un citera cet adage en fin de réunion : " le plus compliqué, ce n'est pas d'avoir des idées neuves, c'est d'oublier les anciennes."

 

Nous avons ensuite rejoint le local de Serge pour voir le film sur la transition vimeo.com/16000409 , en version anglaises sous-titrée en français.

 

J'ai découvert seulement après  la version française sur viameo.com/21598658 !!

 

Quelques contacts sont envisagés, comme le Lycée Horticole, ID Vêts ou encore Emmaüs, sans que quelqu'un se propose pour aller les rencontrer.

 

Stéphanie nous parle d'un maraîcher à Chambourcy, prêt à accueillir sur son terrain quelques personnes pour ramasser ses fruits non calibrés et invendables. Il les donne. Idée à suivre.

 

 

Deux liens Internet viennent compléter ceux indiquer lors de notre première réunion du 8février : sur tedx, voir Jean-François Noubel, sociologue, et le site sparksnews.

 

Note prochaine réunion est fixée au 17 mardi avril à 18h à la Cantonnade, nouveau bar de la place du Marché à la Place du Central. Nous irons voir ensuite dans le local de Serge un autre film sur la transition, en version française, acheté en DVD pour 25€ par Franck : "Cultures en transition". Seule la bande annonce est accessible sur le Net.

 

Nous avons partagé l'achat de ce DVD : 4 € Cathy, Roland et Micheline, 8 € Robin, les 5 € restants pour Franck qui a été payé le samedi suivant sur le marché.

 

Le 17 avril chacun apportera quelque chose à manger et à boire, sachant que pour cette réunion du 8 février dans son local, Serge a sorti ses réserves. Merci à toi !

 

Pour le groupe, le 25 mars 2012,

 

Robin BRANCHU.

 

 


PS : le samedi qui a suivi, sur la place du marché j'ai rencontré Bertrand qui m'a dit avoir vu l'article dans le journal mais lui et ses potes avaient une autre réunion le soir même, ils devraient donc être quelques-uns à nous rejoindre prochainement.


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12 mars 2012 1 12 /03 /mars /2012 11:44

18 mars 2012 :

http://www.plantezcheznous.com/

à ce jour il n'y a encore aucune proposition de prêt dans l'Eure...

 

17 mars :

http://www.avenir-sans-petrole.org/article-le-pic-de-la-croissance-101507755.html

 

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C'est court mais excellent.

 

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Discours de Tommy Douglas en 1944 au Canada.
Tommy DOUGLAS - Thomas Clement (Tommy) Douglas, (né le 20 octobre 1904 à Falkirk (Écosse) et décédé le 24 février 1986 au Canada), est un ancien premier ministre de la Saskatchewan (1944-1961). Il a dirigé le premier gouvernement socialiste en Amérique du Nord, et il était le premier chef fédéral du Nouveau Parti démocratique.


http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Fu2k_IbQ1zw

 

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11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 17:15

 

Courant mars 2012, je passe la soirée chez Milène et ses deux filles adolescentes.

 

Les filles parlent de leurs achats de marque.

 

Après avoir risqué innocemment une question sur ce que c'est qu'une marque, j'en pose une deuxième : ça vous intéresserait un monde sans exclusion ou ça vous passe au-dessus de la tête ?

 

Ben oui pourquoi ?

 

Parce que vous parlez de marques, mais est-ce que les achats éthiques ça vous dit quelque chose ?

 

Et là c'est Milène qui répond. Avec véhémence. Dans le genre : "tu as peut-être les moyens toi de t'acheter des fringues éthiques, mais elles non ! Tu ne vas pas leur faire la morale et les faire culpabiliser !"

 

"Et les vêtements de marque, c'est pas cher peut-être ?"

 

Bon là je vous l'ai faite courte, mais le ton a monté rapidement, c'était la mère qui volait au secours de sa progéniture, impossible d'avoir une discussion sereine sur un plan politique avec les filles sans que la mère ne s'interpose et sorte ses griffes.

 

Plus tard dans la soirée elle s'est excusée de s'être emportée, ne comprenant pas elle-même par quelle force elle était guidée.

 

Fin de l'histoire.

 

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 09:50

           

           C’est à 32 ans que je prends conscience que si les grand-mères et les grand-pères sont si souvent tant aimés de leurs petits-enfants et s’ils les aiment tant, avec autant de gentillesse, de générosité et de patience, c’est forcément en très grande partie parce qu’ils ont ce sentiment, inconnu des jeunes, qu’ils sont en sursis. Ils savent que leurs petits-enfants, âgés de trois ans, sept ans, dix ans, ils ne les verront pas grandir longtemps. Dans un an ou deux peut-être, pour eux grands-parents, la croissance de leurs petits enfants s’arrêtera là.

            Comment avoir de grandes ambitions, des projets à long terme, des exigences éducatives basées sur de nombreuses années d’effort lorsque l’on sait que l’avenir n’est pas pour nous ? Et que faire d’autre pour nos petits enfants, sinon les aimer tels qu’ils sont puisqu’ils ne seront jamais autres, ou si peu, et profiter avec eux du moment présent, des confitures aux abricots, des crèmes au chocolat, des bouillies blanches et des clafoutis savoureux pleins de noyaux ?

 


              À 32 ans, je viens de comprendre ça. Et eux, les vieux, n’en parlent jamais, bien qu’ils l’aient forcément compris, puisqu’ils le ressentent chaque jour un peu davantage. Nous pouvons nous interroger : pourquoi n’en parlent-ils pas ? Mais eux se demandent, probablement, plutôt : à quoi bon ?

  

 

2 mai 1996

 

10 mars 2012 :

http://www.dailymotion.com/video/xo3yv5_il-fait-si-bon-vieillir_webcam#from=embediframe

trouvé sur

http://genevievejurgensen.blog50.com/archive/2012/01/31/une-jeune-fille-magnifique1.html

 

Les Initiatives de Transition, entre autres, portent en elles la potentialité de faire retrouver aux anciens la place qu'ils avaient auparavant, partout, pas seulement chez les amérindiens, et ceci sans demander à l'Etat, et sans revendiquer : en faisant.
Directement.
Avant le pétrole il y avait les palabres,
après le pétrole il y aura les palabres.
Derrière les palabres se cachent l'intelligence musculaire concertée, le savoir-faire partagé de l'artisan, fierté de la communauté à laquelle il appartient, et une place pour tous. Tous, et non pas "le plus grand nombre".

 

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  • : Le blog de Gorge Rouge
  • : Essentiellement préparer l'après pétrole localement, fruit d'une quête tous azimuts pour comprendre ce monde de fous.
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